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Aggiungo i miei due pargoli:
Gallet Decimal Excelsior Park 4
Gallet di forma Excelsior Park 42
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Dalla rete per gli incontri di box: Attached Image. -
aemilius2.
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CITAZIONE (fjodor @ 11/4/2009, 10:30)Dalla rete per gli incontri di box:
Questa ce l'ha il mio orologiaio. Bellissimo pezzo.. -
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Uno oro rosa...l'altro acciaio
Uploaded with ImageShack.us
Dimenticavo "u scarrafone"
<script src='http://img254.imageshack.us/shareable/?i=tnexcelsiorparkacciaio0.jpg&p=tl' type='text/javascript'></script><noscript></noscript>
Edited by fjodor - 23/11/2010, 18:33. -
firo.
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Interessante la storia della maison.
Bellissimi i due Excelsior P.. -
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Excelsior Park 60-48
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Grifone66.
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segnalo interessante Sito, in tema con il Topic :
----> http://www.invenitetfecit.com/modeles/exce...t_imier_fr.html
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complimenti davvero bellissimo topic . -
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1914
1928
1941
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Cahier de projets Excelsior Park, début des années 1920, Fonds Excelsior Park, Mémoires d'Ici
En 1920, l'entreprise imérienne Excelsior Park développe un Boxing Timer, c'est-à-dire un compteur destiné au chronométrage des matches de boxe. À l'époque, les combats de haut niveau attirent des dizaines de milliers de spectateurs. En 1926, le duel entre Jack Dempsey et Gene Tunney, à Philadelphie, se déroule devant une assistance de 120'000 personnes. Pour étrenner leurs titres, les champions sont reçus comme des chefs d'État et défilent en voitures décapotables le long des artères des grandes villes. Le choix de la boxe donne donc une excellente visibilité à Excelsior Park, très présente sur le marché américain.
Son Boxing Timer est destiné aux combats en 12 reprises de 3 minutes, avec une minute de repos entre chaque round. La grande aiguille effectue donc un tour en 4 minutes. Une sonnerie retentit après 3 minutes (fin du round) et à la fin de la quatrième minute (reprise). Une petite aiguille accomplit un tour en 48 minutes, soit la durée normale d'un combat parvenant à son terme. Les divisions du cadran permettent également de compter de façon précise les 10 secondes du KO.
Fondée en 1866 à Saint-Imier, l'entreprise d'horlogerie Excelsior Park fabrique des compteurs de sport dès la fin du XIXe siècle et poursuit son activité dans ce domaine jusque dans les années 1970.
Le chronométrage sportif, dans lequel des marques comme Breitling, Heuer, Longines et Omega sont aussi présentes à l'aube du XXe siècle, vise à assurer la précision et l'impartialité permettant de départager les concurrents et doit respecter les règles des fédérations sportives. Il demande des produits de qualité qui résistent notamment aux chocs auxquels sont confrontés les compteurs dans l'environnement du sport. Excelsior Park intervient dans de nombreuses disciplines, comme le football, la voile, le rugby, le side-car ou le water-polo.
www.m-ici.ch/nouvelles/detail/118. -
calendarmeto.
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i movimenti EP ,oltre che in orologi marcati excelsior park,si possono trovare spesso anche in zenith,gallet e girard perregaux degli anni 50 . -
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Cahier de projets Excelsior Park, début des années 1920, Fonds Excelsior Park, Mémoires d'Ici
En 1920, l'entreprise imérienne Excelsior Park développe un Boxing Timer, c'est-à-dire un compteur destiné au chronométrage des matches de boxe. À l'époque, les combats de haut niveau attirent des dizaines de milliers de spectateurs. En 1926, le duel entre Jack Dempsey et Gene Tunney, à Philadelphie, se déroule devant une assistance de 120'000 personnes. Pour étrenner leurs titres, les champions sont reçus comme des chefs d'État et défilent en voitures décapotables le long des artères des grandes villes. Le choix de la boxe donne donc une excellente visibilité à Excelsior Park, très présente sur le marché américain.
Son Boxing Timer est destiné aux combats en 12 reprises de 3 minutes, avec une minute de repos entre chaque round. La grande aiguille effectue donc un tour en 4 minutes. Une sonnerie retentit après 3 minutes (fin du round) et à la fin de la quatrième minute (reprise). Une petite aiguille accomplit un tour en 48 minutes, soit la durée normale d'un combat parvenant à son terme. Les divisions du cadran permettent également de compter de façon précise les 10 secondes du KO.
Fondée en 1866 à Saint-Imier, l'entreprise d'horlogerie Excelsior Park fabrique des compteurs de sport dès la fin du XIXe siècle et poursuit son activité dans ce domaine jusque dans les années 1970.
Le chronométrage sportif, dans lequel des marques comme Breitling, Heuer, Longines et Omega sont aussi présentes à l'aube du XXe siècle, vise à assurer la précision et l'impartialité permettant de départager les concurrents et doit respecter les règles des fédérations sportives. Il demande des produits de qualité qui résistent notamment aux chocs auxquels sont confrontés les compteurs dans l'environnement du sport. Excelsior Park intervient dans de nombreuses disciplines, comme le football, la voile, le rugby, le side-car ou le water-polo.
www.m-ici.ch/nouvelles/detail/118
Utilizzato nei giochi Olimpici di Parigi nel 1924.
Excelsior Park, Saint-Imier (1866-1984)
Entreprise fondée en 1866 à Saint-Imier par Jules-Frédéric Jeanneret, spécialisée dans le chronométrage sportif. En 1885, Jules-Frédéric Jeanneret et son beau-frère, Fritz Thalmann, acquièrent une propriété (maison et usine) à la rue du Parc. En 1886, les fils de Jules-Frédéric (Albert ?-1899, Henri 1856-1932, et Constant, 1858-1916) s’associent ; la raison sociale devient alors « Albert Jeanneret et Frères ». En 1890, ils deviennent propriétaires des bâtiments du Parc alors que Jules-Frédéric Jeanneret et son fils Samuel reprennent l’exploitation du premier atelier à la rue de la Serre.
C’est en 1891 que la marque Excelsior est déposée pour la première fois pour un compteur de sport.
En 1893, nouveau changement de la raison sociale : Albert Jeanneret se sépare de ses frères pour fonder avec son beau-frère (Fritz Moeri-Thalmann) la maison « Moeri et Jeanneret » qui deviendra « Manufacture des Montres Moeri SA » ; les deux autres frères restent associés sous la raison sociale « Jeanneret Frères, Usine du Parc ». En 1901, c’est au tour de Constant de quitter la maison. Il reprendra plus tard l’entreprise Leonidas. Henri reste seul à la tête de l’usine du Parc qui s’appelle désormais « Jeanneret-Brehm, Usine du Parc » (Brehm étant le nom de son épouse).
En 1905, il rachète la fabrique H. Magnenat-Lecoultre au Sentier (Vallée de Joux). « Jeanneret-Brehm et Cie » dispose donc désormais de deux sites de production : à Saint-Imier on se concentre sur les compteurs et au Sentier (atelier dirigé par Robert-Henri Jeanneret, fils d’Henri), on fabrique des montres à répétition.
En 1916, Henri remet l’entreprise à ses deux fils, Robert-Henri (technicien horloger, diplômé du Technicum de La Chaux-de-Fonds) et Edmond (formation commerciale), associés sous la raison sociale « Les Fils de Jeanneret-Brehm, Excelsior Park ». L’entreprise se met à fabriquer aussi des calibres et devient ainsi une manufacture. Se concentrant peu à peu exclusivement sur la fabrication de compteurs et chronographes, elle va jouer un rôle de pionnier dans le chronométrage sportif. Elle fabrique par exemple un appareil de chronométrage pour la boxe avec sonnerie à la fin des rounds, utilisé aux Jeux Olympiques de Paris en 1924. Elle chronomètre aussi les courses internationales de ski en 1933 et 1936.
En 1951, Edmond Jeanneret se retire. Quelques années plus tard, la quatrième génération fait son entrée au sein de la direction avec l’arrivée de Robert-Edmond, fils de Robert-Henri.
En 1963, l’entreprise devient la société anonyme « Manufacture d’horlogerie Excelsior Park SA » et Robert-Henri quitte l’entreprise.
Dans les années 1960 et 1970, la maison produit principalement des montres-bracelets chronographes car la demande pour les compteurs de sport et industriels diminue avec l’arrivée sur le marché des compteurs électroniques dont les prix ne cessent de baisser. Dès le milieu des années 1970, la situation devient de plus en plus difficiles, notamment avec la baisse du dollar (40-50% de la production est alors achetée par les Etats-Unis), une conjoncture économique défavorable et une concurrence de l’électronique toujours plus importante. Finalement, en janvier 1984, l’entreprise est obligée de fermer ses portes.
Durant toutes ces années, l’entreprise a gagné plusieurs prix et médailles dans différents concours internationaux : médaille d’argent à l’Exposition internationale d’Anvers (1890), médaille d’or à la Foire internationale de Chicago (1893), médaille d’or à l’Exposition universelle de Bruxelles (1897), médaille d’or à l’Exposition internationale de Liège (1905), diplôme d’honneur à l’exposition internationale de Barcelone (1929), premier prix dans la catégorie des montres pour la science et l’industrie lors du concours organisé par la Fédération horlogère à l’Exposition nationale de Lausanne (1964).
www.diju.ch/f/notices/detail/8111/excelsior
(immagine precedente non più visibile)
http://www.christies.com/LotFinder/lot_det...bjectID=4700697. -
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Per un cronografo come questo, sarei disposto a fare follie.
La spiegazione del funzionamento dell'orologio, da un bel catalogo d'epoca...
Il Brevetto del meccanismo "second corrector"....
...che fu applicato anche agli orologi solo-tempo, come risulta ancora dallo stesso brevetto...
...ed anche dal catalogo...
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Per un cronografo come questo, sarei disposto a fare follie.
a chi lo dici!!
C'è uno di noi di OP che cel'ha!!.